dimanche 31 décembre 2006
samedi 30 décembre 2006
L’avant-dernière…
J’ai passé la journée à suivre des chemins qui ne mènent pas forcément là d’où ils viennent. Chemin de terre, chemin de pierres sauvages, chemin de pierres taillées, chemin de goudron et chemin d’eau vive. Je crois les avoirs tous rencontrés pas tous suivis. C’était un peu du Lewis Carroll : «Alice poursuivit, voudriez-vous, je vous prie, me dire quel chemin je dois prendre pour m’en aller d’ici. » Le chat : « Cela dépend en grande partie du lieu où vous voulez aller », Alice : « Je ne me soucie pas trop du lieu », « Dans ce cas, peu importe quel chemin vous prendrez » répondit le chat… « Pourvu que j’arrive quelque part… » Ajouta en manière d’explication Alice. C’est un peu une allégorie de la vie. J’aurais aimé prolonger cette année 2006, mais je n’ai pas encore retrouvé le chemin du rebrousse temps. Alors, je marche. C’est comme si chaque pas me rapprochait de la fin de l’année. Rien, même en tournant en rond. Que ce soit à droite, à gauche ou encore vers le nord ou bien vers l’est. Rien à faire, chaque pas fait s’écouler le temps. Alors peut-être que le repos... Mais non, idiot. Le temps passe et c’est ainsi depuis le début des temps. Depuis le big bang. Et pourtant, quelques fantastiques utopistes (1) auraient voulu un moratoire sur 2007. Juste une pose. Un report. Un ajournement. Un sursis pour l’année en cours. Le durée d’une conférence internationale afin d’analyser l’impact du passage à l’année nouvelle. Je ne sais pas moi, résilier le bail emphytéotique avec le siècle qui ressemble fortement à un contrat de Méphisto avec Faust (2). Nous y perdrons notre jeunesse et au mieux notre âme. Il me reste demain toute la journée pour arpenter de nouveau les chemins de toutes sortes. Qui sais ?
(1)http://www.fonacon.net/reveillon.htm
(2)http://fr.wikipedia.org/wiki/Faust
vendredi 29 décembre 2006
Belle journée
Je la savais dès le matin "la journée serait belle". Elle le fut. A la fois simple et riche. Construite d'amitié et nourrie de pain du meilleur allois. Elle débuta au saut du lit par un tourbillon de rires d'enfants. La douche et la promenade finirent de me conforter dans mon sentiment matinal: "la journée sera belle". Une ballade et une manifestation plus loin je rencontra les premiers amis sur des lames montés. Quelques mètre plus loin le yin était présent. Un repas chez caroline qui fini d'étouffer les cris des partisans de Gaïa que pourtant je soutenais quelques minutes plus tôt. Avec la première bouffée de canard roti au chicons, finie la lutte finale. Re-ballade et visite d'un musée d'ou sortirent quelques photographies de nos Canon(s) lustrés. Visite de quelques bâtiments du patrimoine ancestral et local. Et retour à domicile auprès d'un bon feu de bois tribal.
Je le savait: "la journée fut belle".
Merci à tous et toutes, celles et ceux qui y participèrent...
Photographies dans l'ordre:
Je le savait: "la journée fut belle".
Merci à tous et toutes, celles et ceux qui y participèrent...
Photographies dans l'ordre:
jeudi 28 décembre 2006
Boulles In
Hier soirée Bowling. Je n'aurais jamais du tenter le grand chelem et pourtant je me sentais à l'aise. Résultat: la honte. Après un bon début c'est l'effondrement des valeurs due à l'effronderie de la jeunesse. Battu 150 à 90 ou à peu près je ne m'en remi pas.
La suite fut encore plus funeste. Après le massacre des boules j'ai pris un echec et mat de triste facture. Et pourtant je m'étais renforcé l'esprit avec un cabernet-sauvignon 2001 et un bloc de foie gras rapporté du Périgord par la famille de ce jeune candide d'à peine 17 ans. Il ne me resta plus que la retraite de Saint-Hélène, mon lit, après le passage de la Bérezzina et la canonnade de Waterloo. Triste fin pour un empereur.
La suite fut encore plus funeste. Après le massacre des boules j'ai pris un echec et mat de triste facture. Et pourtant je m'étais renforcé l'esprit avec un cabernet-sauvignon 2001 et un bloc de foie gras rapporté du Périgord par la famille de ce jeune candide d'à peine 17 ans. Il ne me resta plus que la retraite de Saint-Hélène, mon lit, après le passage de la Bérezzina et la canonnade de Waterloo. Triste fin pour un empereur.
mardi 26 décembre 2006
Patin noir
Image de patinoire sur Mons, c'était à ne plus rien y comprendre: deux Fabrice, l'un derrière l'objectif du Finepix et l'autre plus courageux sur la glace. L'un virevoltant l'autre moi, plutot chancellant. Deux face d'un même prénom. La dualité de l'être, l'alpha et l'oméga... dure réalité psychanalytique. ;-) Surréaliste.
dimanche 24 décembre 2006
vendredi 22 décembre 2006
jeudi 21 décembre 2006
And the winer is...
Les deux albums de l'année selon le classement made in Perceval:
Le tout bon "The Best Acoustic Album in The World... Ever !"
Musique acoustique studio et live pour mêler émotions et sérieux tout en préservant la surprise des reprises... Coldplay, Ben Harper, Over the Rhine et le délicieux Edible Flowers des Finn Brother et le mythique groupe the Verve. Double album anglophone de haute valeur ajoutée pour soirée en solo et sortie en amoureux juxtaposé au doux ronronnement du moteur TDI à 3500 tours minutes cruise control et mains dans la mains de la dulcinée: du vécu.
Deuxième meilleur album de l'année: Laurent Voulzy et sa septième vague dont le doux son de la vague a été capté à Saint-Tropez... Trop cool. Reprise succulentes de the shadow of your smile. Inoubliable "dernier baiser" qui m'arrache les tripes et la nostalgie d'un slow trop rapidement compliqué en une histoire banale de flirt adolescent.
Le tout bon "The Best Acoustic Album in The World... Ever !"
Musique acoustique studio et live pour mêler émotions et sérieux tout en préservant la surprise des reprises... Coldplay, Ben Harper, Over the Rhine et le délicieux Edible Flowers des Finn Brother et le mythique groupe the Verve. Double album anglophone de haute valeur ajoutée pour soirée en solo et sortie en amoureux juxtaposé au doux ronronnement du moteur TDI à 3500 tours minutes cruise control et mains dans la mains de la dulcinée: du vécu.
Deuxième meilleur album de l'année: Laurent Voulzy et sa septième vague dont le doux son de la vague a été capté à Saint-Tropez... Trop cool. Reprise succulentes de the shadow of your smile. Inoubliable "dernier baiser" qui m'arrache les tripes et la nostalgie d'un slow trop rapidement compliqué en une histoire banale de flirt adolescent.
Leve toi et marche
Le matin tout nous semble plus difficile. Le moindre effort est un challenge incommensurable pour nos petits corps encore engourdis par une nuit trop courte. Pauvre de nous. Encore plusieurs dizaines d'années à devoir se lever le matin. Tout les matins du monde comme disait un film aux paysages exotiques. Est-ce plus facile de se lever sous les tropiques? Qui sait...
mercredi 20 décembre 2006
matin montois
Une belle journée s'annonce mais dans un froid de canard. Un peu de brouillard, une atmosphère floconneuse et la réverbération des lumières de clignotants, phares anti-brouillards et feux de croisement dans un ballet féérique de sons et de lumières.
Que demander de plus sur le chemin du boulot?
Que demander de plus sur le chemin du boulot?
mardi 19 décembre 2006
lundi 18 décembre 2006
Un échange photographique
Vous ne prenez pas une photographie, vous la faites.
Ansel Adams
Ansel Adams
On photographie ce qu'on a regardé, donc on se photographie soi-même.
Denis Roche
Denis Roche
La démarche du photographe:
Le photographe en colloque singulier avec son appareil, les réglages, son imagination qui projette l'image mentale du sujet...
Et ensuite le moment crucial, le passage à l'acte, la confrontation entre l'imaginaire et la réalité pour saisir un moment de vie, un instantané de lumière, une fraction du monde.
Il n'y a pas de bons ou de mauvais sujets, il n'y a que la qualité du regard qui se pose sur eux.
Jean Loup SIEFF
Jean Loup SIEFF
samedi 16 décembre 2006
M'accorderiez vous une danse?
Sur un air de Haendel, les sons virevoltent en milles façons
Qui au contact de nos sens se transforment
En sentiments mirobolants, en émotions destructurées
Pour faire bouger milles muscles et quatre membres
Pour faire revivre notre naissance
jeudi 14 décembre 2006
mercredi 13 décembre 2006
Faire souche
Faire souche en sous bois, planté là au milieu de nulle part réduit à rester au raz du sol après avoir côtoyé les cimes. Cruelle fatalité de l'existence qui nous remet au sol dans les derniers moments. toucher le sol et y rester planté. Retour du géant à l'humus pour renaître au travers une forme de vie différente dans un cycle immuable. Au revoir l'arbre, bonjour la vie.
mardi 12 décembre 2006
samedi 9 décembre 2006
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