samedi 24 février 2007

Anniversaire


Aujourd'hui anniversaire. Carambards, fruitella et toutes ces choses qui collent au palais. Cris d'enfants, parfois pleurs mais surtout de l'agitation. Soda pétillants et gateau au chocolat. Que de bonnes choses. Enfin cela ne se représente qu'une fois l'an.

vendredi 23 février 2007

Free Ingrid



5 ans déjà qu’Ingrid Betancourt la candidate écologiste à l’élection présidentielle colombienne a été enlevée. Elle est retenue captive par les FARC, un groupe communiste maoïste extrémiste (pléonasme) qui la prive de sa liberté pour médiatiser un combat d'arrière garde.




«Qu'est-ce qui vous a fait vous mobiliser pour la libération d'Ingrid Betancourt ?» demande Marc-Olivier Fogiel à Renaud.


«Je m'attendais à cette question parce que c'est systématiquement la question de quelques journalistes que je rencontre depuis quelques mois.


C'est une question déroutante. Il peut y avoir cinquante réponses différentes. Je vais prendre la plus simple.


Qu'est-ce qui a fait ? La même raison qui fait qu'Astrid combat aussi, voilà.


C'est parce que c'est sa soeur, parce que c'est aussi ma soeur, Ingrid Betancourt. C'est ma soeur en souffrance. Elle fait partie de cette entité mystérieuse et nombreuse qui s'appelle la race humaine. Quand un humain souffre, je souffre aussi, point final. Qu'on croie ou non à ma sincérité, j'en ai rien à foutre. C'est la vérité.»


DANS LA JUNGLE
(Pour Ingrid Bétancourt)

Trois années dans la jungle
Ligotée, baillonnée
Entourée de ces dingues
Ces doux illuminés

Qui t’ont fait prisonnière
Otage précisément
De leur triste guerre
Perdue depuis longtemps

Eux qui voulaient jadis
La liberté, le droit
Crachent sur la justice
En s’en prenant à toi

Ils méprisent la vie
Et la femme que tu es
Au bout de leurs fusils
La victoire est fanée

Nous t’attendons Ingrid
Et nous pensons à toi
Et nous ne serons libres
Que lorsque tu le seras

Trois années dans la jungle
Ligotée, baillonnée
Avec ces porte-flingues
Devenus tes geolliers

Qui te citent Staline
Ou te lisent Mao
A toi qui, j’imagine
Préfèrerais Rimbaud

Peut-être, comme moi
Les croyais-tu, naguère
Fils de Che Guevara
Et porteurs de lumière

Mais leur lutte finale
Leur matin du grand soir
C’est la haine et le mal
Et surtout les Dollars

Nous t’attendons Ingrid
Et nous pensons à toi
Et nous ne serons libres
Que lorsque tu le seras

Je n’connais pas le nom
De tous ceux, comme toi
Qui croupissent en prison
Otages ici ou là

Anonymes, oubliés
Victimes de conflits
Où, de chaque côté
Sévit la barbarie

Des narco-trafiquants
D’un pouvoir corrompu
D’un indigne président
Vous payez le tribut

Alors, chantant pour toi
Ingrid, je veux aussi
Rappeler que tu combats
Contre un double ennemi

Nous t’attendons Ingrid
Et nous pensons à toi
Et nous ne serons libres
Que lorsque tu le seras

Trois années dans la jungle
Ligotée, baillonnée
Avec le vent qui cingle
Dans tes cheveux défaits

Tu restes, malgré tout
Sereine et élégante
Ta revanche sur ces fous
Est de rester vivante

Pour tous ceux que tu aimes
Et qui ne t’oublient pas
Qui veulent briser ces chaînes
Qui ne te briseront pas

Ton nom est synonyme
Ingrid Bétancourt
Contre l’armée du crime
De courage et d’amour

Nous t’attendons Ingrid
Et nous pensons à toi
Et nous ne serons libres
Que lorsque tu le seras

Et nous ne serons libres
Que lorsque tu le seras

jeudi 15 février 2007

Valentine day


Hé ben, c'était Saint Valentin hier. Dans ce monde de fous tout dois être encadré, programmé, budgétisé même l'amour. C'est un peu comme les camemberts sous célophane stérilisés aux UV. Les sentiments lyophilisés que l'on réhydrate le 14 février au soir. Quel monde de dingue où le tout est au mercantilisme de bas étage. Faut vendre pour booster la croissance, et pour acheter il faut bosser comme des dingues. Et puis comme des moutons, on râle mais on suit le troupeau... Et ben moi cette année... j'ai acheté une bouteille de Cacharelle pour la miss. Et ben oui, je sais, je sais... bêêêê^Mais j'ai bien aimé son sourire ;-)

vendredi 9 février 2007

Retour aux sources




Je trouve enfin le temps de vous raconter mon week-end: génial. Nature, marche et bonne bouffe. Terminer la journée par une fatigue physique saine acquise au grand air, je n'ai encore rien trouvé de mieux pour atteindre la plénitude. Chacun son pétard, moi c'est le grand bol d'oxygène. Deux jours à remonter les rivières pour retrouver leurs sources... belle allégorie pour retraite méditative. Chemin au combien glissant, mais quelques chutes plus tard nous y étions tous arrivé... à la source. Les yeux plein d'image et les muscles courbaturés.

vendredi 2 février 2007

Bon week-end en prévision


Ce week-end je vais faire un trek en Ardenne avec quelques amis. Marche et méditation pour bien m'imprégner de la nature. Qui sait, peut être y aura t'il quelques belles photographies. En tout cas j'ai pris deux cartes mémoires et deux batteries. résultat dimanche soir. J'ai aussi préparé mon lecteur mp3 avec les morceaux suivants: