dimanche 31 décembre 2006
samedi 30 décembre 2006
vendredi 29 décembre 2006
Belle journée
Je la savais dès le matin "la journée serait belle". Elle le fut. A la fois simple et riche. Construite d'amitié et nourrie de pain du meilleur allois. Elle débuta au saut du lit par un tourbillon de rires d'enfants. La douche et la promenade finirent de me conforter dans mon sentiment matinal: "la journée sera belle". Une ballade et une manifestation plus loin je rencontra les premiers amis sur des lames montés. Quelques mètre plus loin le yin était présent. Un repas chez caroline qui fini d'étouffer les cris des partisans de Gaïa que pourtant je soutenais quelques minutes plus tôt. Avec la première bouffée de canard roti au chicons, finie la lutte finale. Re-ballade et visite d'un musée d'ou sortirent quelques photographies de nos Canon(s) lustrés. Visite de quelques bâtiments du patrimoine ancestral et local. Et retour à domicile auprès d'un bon feu de bois tribal.
Je le savait: "la journée fut belle".
Merci à tous et toutes, celles et ceux qui y participèrent...
Photographies dans l'ordre:






Je le savait: "la journée fut belle".
Merci à tous et toutes, celles et ceux qui y participèrent...
Photographies dans l'ordre:
jeudi 28 décembre 2006
Boulles In
Hier soirée Bowling. Je n'aurais jamais du tenter le grand chelem et pourtant je me sentais à l'aise. Résultat: la honte. Après un bon début c'est l'effondrement des valeurs due à l'effronderie de la jeunesse. Battu 150 à 90 ou à peu près je ne m'en remi pas.
La suite fut encore plus funeste. Après le massacre des boules j'ai pris un echec et mat de triste facture. Et pourtant je m'étais renforcé l'esprit avec un cabernet-sauvignon 2001 et un bloc de foie gras rapporté du Périgord par la famille de ce jeune candide d'à peine 17 ans. Il ne me resta plus que la retraite de Saint-Hélène, mon lit, après le passage de la Bérezzina et la canonnade de Waterloo. Triste fin pour un empereur.
La suite fut encore plus funeste. Après le massacre des boules j'ai pris un echec et mat de triste facture. Et pourtant je m'étais renforcé l'esprit avec un cabernet-sauvignon 2001 et un bloc de foie gras rapporté du Périgord par la famille de ce jeune candide d'à peine 17 ans. Il ne me resta plus que la retraite de Saint-Hélène, mon lit, après le passage de la Bérezzina et la canonnade de Waterloo. Triste fin pour un empereur.
mardi 26 décembre 2006
Patin noir
Image de patinoire sur Mons, c'était à ne plus rien y comprendre: deux Fabrice, l'un derrière l'objectif du Finepix et l'autre plus courageux sur la glace. L'un virevoltant l'autre moi, plutot chancellant. Deux face d'un même prénom. La dualité de l'être, l'alpha et l'oméga... dure réalité psychanalytique. ;-) Surréaliste.
dimanche 24 décembre 2006
vendredi 22 décembre 2006
jeudi 21 décembre 2006
Leve toi et marche
Le matin tout nous semble plus difficile. Le moindre effort est un challenge incommensurable pour nos petits corps encore engourdis par une nuit trop courte. Pauvre de nous. Encore plusieurs dizaines d'années à devoir se lever le matin. Tout les matins du monde comme disait un film aux paysages exotiques. Est-ce plus facile de se lever sous les tropiques? Qui sait...
mercredi 20 décembre 2006
matin montois
Une belle journée s'annonce mais dans un froid de canard. Un peu de brouillard, une atmosphère floconneuse et la réverbération des lumières de clignotants, phares anti-brouillards et feux de croisement dans un ballet féérique de sons et de lumières.
Que demander de plus sur le chemin du boulot?
Que demander de plus sur le chemin du boulot?
mardi 19 décembre 2006
lundi 18 décembre 2006
Un échange photographique
Vous ne prenez pas une photographie, vous la faites.
Ansel Adams
Ansel Adams
On photographie ce qu'on a regardé, donc on se photographie soi-même.
Denis Roche
Denis Roche
La démarche du photographe:
Et ensuite le moment crucial, le passage à l'acte, la confrontation entre l'imaginaire et la réalité pour saisir un moment de vie, un instantané de lumière, une fraction du monde.
Il n'y a pas de bons ou de mauvais sujets, il n'y a que la qualité du regard qui se pose sur eux.
Jean Loup SIEFF
Jean Loup SIEFF
samedi 16 décembre 2006
M'accorderiez vous une danse?
Sur un air de Haendel, les sons virevoltent en milles façons
Qui au contact de nos sens se transforment
En sentiments mirobolants, en émotions destructurées
Pour faire bouger milles muscles et quatre membres
Pour faire revivre notre naissance
jeudi 14 décembre 2006
mercredi 13 décembre 2006
samedi 9 décembre 2006
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