lundi 26 novembre 2007
dimanche 25 novembre 2007
In Front of...
samedi 24 novembre 2007
Culture
vendredi 23 novembre 2007
Eclipse
jeudi 22 novembre 2007
Yellow Dream
mercredi 21 novembre 2007
Jacques du Broeuck.
lundi 1 octobre 2007
samedi 29 septembre 2007
samedi 22 septembre 2007
jeudi 6 septembre 2007
samedi 11 août 2007
vendredi 6 juillet 2007
mercredi 23 mai 2007
Ombres et lumières
vendredi 18 mai 2007
Repos musical
mardi 15 mai 2007
Toutes les bonnes choses ont une fin
J'aime particulièrement la flute en arrière fond et le texte, quel texte...
Premier couplet:
Toutes les bonnes choses (ont une fin)
Honestly what will become of me
Honnêtement, qu'est-ce que je vais devenir
Don't like reality
Je n'aime pas la réalité
It's way too clear to me
C'est une manière trop évidente pour moi
But really life is daily
Mais la vie réelle est habitude
We are what we don't see
Nous sommes ce que nous ne voyons pas
Missed everything daydreaming
Tout est manqué en rêvant le jour
All Good Things lyrics
Honestly what will become of me
Don't like reality
It's way too clear to me
Nelly But really life is daily
We are what we don't see
Furtado Missed everything daydreaming
Refrain:
Flames to dust
Lovers to friends
Why do all good things come to an end
All Flames to dust
Lovers to friends
why do all good things come to an end
Good
Traveling I only stop at exits
Wondering if I'll stay
Things Young and restless
Living this way I stress less
I want to pull away when the dream dies
Come The pain sets in and I don't cry
I only feel gravity and I wonder why
To
Refrain:
Flames to dust
Lovers to friends
Why do all good things come to an end
An Flames to dust
Lovers to friends
why do all good things come to an end
End Come to an end
Come to an
Why do all good things come to an end
Songtexte Come to an end
Come to an
Why do all good things come to an
Songtext
Well the dogs were whistling a new tune barking at the new moon
Lyrics Hoping it would come soon so that they could die
Dogs were whistling a new tune barking at the new moon
Lyric Hoping it would come soon so that they could die
Refrain:
Flames to dust
Liedertexte Lovers to friends
Why do all good things come to an end
Liedertext Flames to dust
Lovers to friends
Why do all good things come to an end
Alle Come to an end
Come to an
Why do all good things come to an end
Nelly Come to an end
Come to an
Why do all good things come to an ...
Furtado
Well the dogs were barking at the new moon whistling a new tune
All Hoping it would come soon
Well the dogs were barking at the new moon whistling a new tune
Good Hoping it would come soon
So that they could die
* Texte von Nelly Furtado
* Fanseiten von Nelly Furtado
* Mitglieder die auch Nelly Furtado hören
jeudi 8 mars 2007
dimanche 4 mars 2007
Encore perdu
vendredi 2 mars 2007
ça y est

samedi 24 février 2007
Anniversaire
vendredi 23 février 2007
Free Ingrid
5 ans déjà qu’Ingrid Betancourt la candidate écologiste à l’élection présidentielle colombienne a été enlevée. Elle est retenue captive par les FARC, un groupe communiste maoïste extrémiste (pléonasme) qui la prive de sa liberté pour médiatiser un combat d'arrière garde.
«Qu'est-ce qui vous a fait vous mobiliser pour la libération d'Ingrid Betancourt ?» demande Marc-Olivier Fogiel à Renaud.
«Je m'attendais à cette question parce que c'est systématiquement la question de quelques journalistes que je rencontre depuis quelques mois.
C'est une question déroutante. Il peut y avoir cinquante réponses différentes. Je vais prendre la plus simple.
Qu'est-ce qui a fait ? La même raison qui fait qu'Astrid combat aussi, voilà.
C'est parce que c'est sa soeur, parce que c'est aussi ma soeur, Ingrid Betancourt. C'est ma soeur en souffrance. Elle fait partie de cette entité mystérieuse et nombreuse qui s'appelle la race humaine. Quand un humain souffre, je souffre aussi, point final. Qu'on croie ou non à ma sincérité, j'en ai rien à foutre. C'est la vérité.»
(Pour Ingrid Bétancourt)
Trois années dans la jungle
Ligotée, baillonnée
Entourée de ces dingues
Ces doux illuminés
Qui t’ont fait prisonnière
Otage précisément
De leur triste guerre
Perdue depuis longtemps
Eux qui voulaient jadis
La liberté, le droit
Crachent sur la justice
En s’en prenant à toi
Ils méprisent la vie
Et la femme que tu es
Au bout de leurs fusils
La victoire est fanée
Nous t’attendons Ingrid
Et nous pensons à toi
Et nous ne serons libres
Que lorsque tu le seras
Trois années dans la jungle
Ligotée, baillonnée
Avec ces porte-flingues
Devenus tes geolliers
Qui te citent Staline
Ou te lisent Mao
A toi qui, j’imagine
Préfèrerais Rimbaud
Peut-être, comme moi
Les croyais-tu, naguère
Fils de Che Guevara
Et porteurs de lumière
Mais leur lutte finale
Leur matin du grand soir
C’est la haine et le mal
Et surtout les Dollars
Nous t’attendons Ingrid
Et nous pensons à toi
Et nous ne serons libres
Que lorsque tu le seras
Je n’connais pas le nom
De tous ceux, comme toi
Qui croupissent en prison
Otages ici ou là
Anonymes, oubliés
Victimes de conflits
Où, de chaque côté
Sévit la barbarie
Des narco-trafiquants
D’un pouvoir corrompu
D’un indigne président
Vous payez le tribut
Alors, chantant pour toi
Ingrid, je veux aussi
Rappeler que tu combats
Contre un double ennemi
Nous t’attendons Ingrid
Et nous pensons à toi
Et nous ne serons libres
Que lorsque tu le seras
Trois années dans la jungle
Ligotée, baillonnée
Avec le vent qui cingle
Dans tes cheveux défaits
Tu restes, malgré tout
Sereine et élégante
Ta revanche sur ces fous
Est de rester vivante
Pour tous ceux que tu aimes
Et qui ne t’oublient pas
Qui veulent briser ces chaînes
Qui ne te briseront pas
Ton nom est synonyme
Ingrid Bétancourt
Contre l’armée du crime
De courage et d’amour
Nous t’attendons Ingrid
Et nous pensons à toi
Et nous ne serons libres
Que lorsque tu le seras
Et nous ne serons libres
Que lorsque tu le seras
jeudi 15 février 2007
Valentine day
Hé ben, c'était Saint Valentin hier. Dans ce monde de fous tout dois être encadré, programmé, budgétisé même l'amour. C'est un peu comme les camemberts sous célophane stérilisés aux UV. Les sentiments lyophilisés que l'on réhydrate le 14 février au soir. Quel monde de dingue où le tout est au mercantilisme de bas étage. Faut vendre pour booster la croissance, et pour acheter il faut bosser comme des dingues. Et puis comme des moutons, on râle mais on suit le troupeau... Et ben moi cette année... j'ai acheté une bouteille de Cacharelle pour la miss. Et ben oui, je sais, je sais... bêêêê^Mais j'ai bien aimé son sourire ;-)
vendredi 9 février 2007
vendredi 2 février 2007
Bon week-end en prévision
Ce week-end je vais faire un trek en Ardenne avec quelques amis. Marche et méditation pour bien m'imprégner de la nature. Qui sait, peut être y aura t'il quelques belles photographies. En tout cas j'ai pris deux cartes mémoires et deux batteries. résultat dimanche soir. J'ai aussi préparé mon lecteur mp3 avec les morceaux suivants:
mercredi 31 janvier 2007
Photo Agrafe
La photographie est en train de me bouffer tous mes temps libres. Quel plaisir mais cela peut aussi devenir une obsession. Tirer la photo du jour, non pas encore celle là, allez encore une… Les visualiser sur ACDsee, parfois déçu parfois enchanté, recadrage, un peu de contraste allez hop sur Flickr. Mais bon sang, là encore une belle lumière, un peu de temps libre et zou, 20 photos de plus à re ACDsee, re recadrage… Et ensuite, une pour le groupe machin, une pour le blog en anglais, une pour hors contexte, une pour un mail à un(e) ami(e).
Comment saisir l’essence du sujet. Comment susciter l’émotion, capter la beauté, l’angle qui arrachera une larme au spectateur.
Au moins je sais une chose : j’ai encore énormément de travail avant d’y arriver… Allez je repars pour quelques dizaines de photos.
lundi 29 janvier 2007
Que d'eau
Quoi de plus jouissif qu’une bonne douche après le sport ? Oui, bon bien sur le petit câlin du soir mais bon avant il y a la pluie artificielle qui élimine les stigmates de l’effort. Quand on pense à l’eau que l’on a gaspillé en suant corps et âme pour ensuite encore salir de l’eau de ville c’est à vous dégoûter d’être écolo. Mais rassurez vous, je suis et je reste écolo. Mieux vaut polluer l’eau comme ça plutôt qu’en en buvant des litres mélangées au malt et aux bulles de chez Jupille pour de toute façon finir au caniveau avec elle. Prosit.
lundi 22 janvier 2007
Rencontres du week-end
Le temps me manque. Qui l'eut cru ? Alors, comment vous résumer ces deux rencontres du troisième type. Enfin d’un type en particulier. Samedi soir, au froid dans de très vieux murs de pierre j’ai interrompu ma méditation pour lire un SMS, et oui, tout se perd. Surprise, une blague ? Siméon Maurice voulait me rencontrer. Rire nerveux, sudation émotionnelle et toute la panoplie des réactions en chaîne que seule l’émotion peut suggérer au corps. Je me pince et trouve le courage de renvoyer un SMS pour confirmer que mon emploi du temps me laisse 1 heure dimanche matin. Je les lui donne avec plaisir et crainte.
Dimanche matin arrive. Le cœur aux lèvres, juste après avoir aidé un pote qui avait des problèmes de lessiveuse, je me mis en branle. Drôle de mot, j’en conviens. Direction le marché… L’aventure littéraire commença. Il me balada de poème en fabulations métaphysiques et je le ramenai dans le Mons du XIVe au XIXe. Du marché aux fleurs place Léopold à la rue des Capucins, ordre monastique implanté à Mons. Nous suivîmes le cours ancestral de la « Trouille », encore un drôle de nom, une rivière. Nous imaginions les roues à aubes, les ponts et les religieux portant la bure déambulant devant les troquets enivrés des pêcheurs… Il me parlait de Barthes, je lui contais De Broeucq…. Il me parlais de Rita, je lui parlais de Marcel Lefranck, le photographe surréaliste montois. Désolé, demain ou cette nuit je vous parlerai du reste de la conversation…
Avant de vous laisser, je vous raconte une amitié, une âme sensible. Sans vraiment la connaître, Panta Rhei m’a impressionné. Quelques lignes en Anglais échangées sur flickr. Une idée de blog en commun. Une connivence est née. On en reparle ? À plus tard.
vendredi 19 janvier 2007
Dure nuit, dure lutte
Et maintenant il faut tenir une journée au boulot. Réflechir à ne pas baîlllllllller devant les gens. Là, j'endure. Allez la routine, ça peut se faire les yeux fermés... dicter quelques dossiers sans surprises, laisser les courriers les plus difficiles pour demain matin. Boire du thé vert... merci la théine, depuis que j'ai banni la caféine, c'est elle qui a la grande responsabilité de mettre mes neurones en état de marche...
Bon allez, un peu de web... quoi de neuf, ouais, 5 commentaires sur flickr, nice shot... X5, merci les mecs. Ensuite unbrin de lecture sur les blogs amis, une comm chez fab, les autres plus tard, plus le temps... Ah oui, Siméon-Maurice. Et puis lire un peu les journeaux: Le Monde, Libé et enfin La Libre... Tiens un forum sur les favoris à conseiller: hop, je laisse deux messages: le premier pour Promotionner la Net citoyenneté: Wikipédia, Agoravox et Ekopédia... Et le dernier pour proposer aux lecteurs du journal le blog de l'année: Siméon-Maurice. Allez encore une capture d'écran et zou...

dimanche 14 janvier 2007
Dimanche matin: on rêve un peu, c'est gratuit.
La matinée a été splendide à Mons. Soleil, températures clémentes et un autre Clément photographe, le fils de Fabrice D. dont vous pouvez admirer deux prisex de vue. Le gamin est sur les traces de son papa.
Nous sommes là à trois à tailler une bavette entre "photographes" (les guillemets sont pour moi). Celui qui a osé franchir le cap de l'exposition et les deux autres, dont moi, qui en rêve sans s’y être risqué. Mais on se quitte avec une promesse de mettre sur pied quelque chose d’encore vague… un groupe de photographes, une expo, un rallye photo, des cours. Qui sait. A cœur vaillant, rien d’impossible.
Le rêve y est, c’est déjà ça de gagné.
Pour les autres photographies de la rencontre clicquer ici
jeudi 11 janvier 2007
dimanche 7 janvier 2007
Le dix manches
samedi 6 janvier 2007
La famille s'agrandit
Bois d'oeuvre
Je pense donc je… L’art primitif est une intrigue. Entre moquerie et sublimation des émotions. Les artistes initiaux des grottes, les peintres et les modeleurs d’os de renne, imaginaient-il qu’un jour ils seraient pris en exemple ? Avaient-ils ce besoin de laisser une oeuvre à la postérité ? Personne ne sait. Toujours est-il que maintenant ils sont connus et reconnus dans le monde de l’art. À titre posthume. Comme Van Gogh mort avant son heure de gloire. Le temps bonifierait-il l’œuvre artistique ? Ou alors peut-être permettrait-il aux esprits de s’habituer au génie trop précoce… La qualité d’une œuvre ne peut se reconnaître qu’après que le temps ait fait ses griffes sur elle. Les artistes reconnus de leur vivant ne sont pas ceux que l’Histoire de l’art retient, que du contraire.
Que d’émotion à la vue de cette petite statue d’art africain. Arrachée à un rectangle de bois exotique, elle enjolive un espace qui sans elle ne serait pas le même. Évoquant sans équivoque le penseur de Rodin, impossible de dire qui a influencé l’autre si influence il y a eu. Il n’est pas rare que deux peuples distants de plusieurs milliers de kilomètres évoluent technologiquement, religieusement et artistiquement en parallèle. Je choisis cette dernière solution : le hasard. Peu importe, le chef d’œuvre est là. Impossible de retracer le parcours émotionnel de l’artiste qui a abouti à elle. Je ne saurai jamais ce qui l’a poussé à transformer la forme naturelle initiale en ce bonhomme aux pensées perdues. Cela ne fera qu’augmenter mon émotion en rajoutant toute une panoplie de pensées et de réflexions sur l’origine de cette création. Enivrante recherche perdue d’avance.
vendredi 5 janvier 2007
Trop lent
Ce soir le débit ADSL est d'un lenteur qui me rappelle la vitesse de fonctionnement de mon cerveau le lendemain de fête ou le matin avant 10 heures au boulot. Il ne se rend pas compte ce monsieur Web que j'ai une vie à vivre et que je refuse de la perdre là devant cet écran à attendre qu'il me donne des nouvelles de mes amis et accessoirement du monde. Ce débit lent est inversément proportionnel à la vitesse d'écoulement de ma vie. Bigre je recommence et JPL va encore m'engueuler et je serai encore obligé de lui dire que s'il a plus en année il a aussi plus en sagesse. Ah enfin, ça avance, ADSL se reveille, je vais connaître la suite des aventures de Simon-Marcel. Il me fait rire celui là, comme-ci il allait pouvoir commenter les objets proposés par l'autre zigoto, le mosan implanté dans la cité du doudou, non mais... Enfin, pendant ce temps, le temps passe...
mercredi 3 janvier 2007
Un an de plus
Un livre de 1763 chiné sous le regard de la Collégiale Sainte Waudru et un fossile piégé depuis 300 millions d’années dans les sédiments remontés à la sueur de l’homme sur un terril que j’aimais arpenter au temps où il ne s’écoulait pas trop vite.
Le temps a toujours constitué une contrainte indomptable. Les divisions du temps en heures, en journées, en semaines créent autant d’entraves à ma liberté. Dès l’enfance, nous sommes conditionnés à vivre en fonction de cette division du temps qui passe. Conditionnés à presser le pas pour prendre le bus scolaire et ensuite à monter dans sa voiture au plus tard à telle heure après l’avoir déterminée, cette fichue heure fatidique, par un savant calcul de probabilité sur la durée du trajet en tenant compte des paramètres variables de la météo, du trafic et de l’éternel bouchon. Le temps et ses disciples ne servent qu’à nous exaspérer. Générateur d’angoisse, le temps et le besoin de possession matériel auquel il s’est intimement lié d’amitié nous gâchent la vie.
Et pourtant, il y a nécessairement des astuces pour l’immobiliser, pour l’amarrer au quai de la vie pour que nous fassions escale. Juste quelques heures… Et revoilà cette notion de période qui revient même quand je la chasse. Disons donc : juste un moment. Entité plus vague mais dont l’ondulation s’accorde bien avec le quai.
Qui sait ? Peut-être que ce vieux bouquin de 244 ans et ce fossile de 300 000 millions d’années ont-ils trouvé le moyen de ne plus se subordonner au dictat du ruissellement du temps. Ruissellement qui à la longue d’une vie devient une vraie inondation qui nous submerge.
mardi 2 janvier 2007
Des voeux originaux
J'aimerais vous faire partager les voeux que nous venons de recevoir d'une famille merveilleuse:
"La compagnie terre est heureuse d’annoncer à ses aimables passagers que notre voyage se poursuivra en 2007
Elle rappelle que, sur ce vol, ce sont les passagers qui sont chargés de commander et d’entretenir le vaisseau. A ce propos, la compagnie terre annonce qu’en cas de nouvelle augmentation de la température dans l’habitacle, elle se verra dans l’obligation de servir les apéritifs sans glaçon.
Ces pourquoi la compagnie terre encourage ses aimables passagers à éviter l’usage des énergies fossiles et à recourir autant que possible aux modes de déplacements, ainsi qu’aux sources d’énergie et de chaleur suivants : le sourire chaleureux, l’étreinte fiévreuse, le baiser torride, le vélo, le char à voile, le deltaplane, la pelle roulée, la poignée de main, les bonds de joie, le feu au cul, le feu de l’action, le feu de l’amour, le feu d’artifice, la patinette, la patin , le câlin, la caresse, la Kama sutra, le tapis volant, l’accolade fraternelle, la passion ardente et tout autre forme de chaleur humaine et de transport amoureux."
Après ça le silence pour méditer ... et puis la musique pour profiter: